La fermeture des frontières avec le Niger n’arrange pas du tout les centaines de routiers qui font régulièrement la navette entre Niamey et le port de Cotonou qui sont au chômage depuis trois semaines.
L’essentiel des biens de consommation transite par le port de Cotonou. Les bus de transport de voyageurs qui relient les capitales ont dû s’adapter à la nouvelle situation.