Après le décès de Pierre Nkurunziza le 8 juin dans un hôpital du centre du pays, officiellement d’un « arrêt cardiaque », les Burundais sont sous le choc et ne cachent pas leur inquiétude. Le gouvernement n’a encore rien dit sur les obsèques de Pierre Nkurunziza. Et la Constitution du Burundi n’a pas prévu le cas particulier du décès d’un président sortant après l’élection de son successeur.
K.S.
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